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© Philippe Mazzoni

Stéphane Milochevitch, sincère et libre

Avant "La Bonne Aventure" sorti sous son nom propre, Stéphane Milochevitch a été Thousand. Ses trois albums parus chez Talitres avaient mis Magic sur la piste de sa pop lettrée et de son écriture poétique brute et érudite. Rembobinage.

Après un premier album, The Flying Pyramid, sorti sur le label aveyronnais Arbouse Recordings en 2009, c’est chez Talitres que Stéphane Milochevitch a fait prospérer sa pop lettrée et son écriture poétique brute et érudite. Largement autodidacte et multi-instrumentiste, l’artiste, qui a grandi en partie aux États-Unis (l’album qui porte son nom et qui l’a révélé, paru en 2015, est écrit en anglais) s’inspire autant de Bill Callahan que des folklores du monde. Sur ses trois derniers disques sous le nom de Thousand, il mêle références religieuses, sexuelles et intimes, électro-pop et rock audacieux. L’abandon du pseudonyme et le passage au patronyme était attendu et annoncé : Stéphane Milochevitch avance désormais à découvert, encore plus sincère et libre. Cette sincérité et cette liberté, Magic les a reconnues et chroniquées.

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