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Design © David Guibaud

Magic n°229 : le mook de l’automne bientôt chez vous

La revue Magic n°229 arrive dans la boîte aux lettres de nos abonnés à partir du 10 novembre et vous pouvez dès maintenant la commander sur notre boutique ! Au sommaire : Blur, PJ Harvey, Björk, Oneohtrix Point Never, Cat Power, Structures, Tom Waits...

L’automne 2023 sera celui de la “cool nostalgia” !

Où ça ? Chez les pop lovers de tous âges et dans NOTRE NOUVEAU MOOK DE 168 PAGES !

À l’honneur du Magic n°229 : trois “pop models” des nineties qui touchent encore juste en 2023 : BLUR, PJ HARVEY & BJÖRK.

Pertinence jamais démentie, œuvre porteuse d’un “sens unique” dans nos vies, passation de passion aux nouvelles générations… Notre trimestriel de l’automne se penche sur ces figures d’exception qui, l’air de rien, ont encore fait l’actu cette année. Sur disque, sur scène, dans une mémoire sans cesse réactivée ou dans le creux de l’oreille d’une jeunesse qui ne les a pas connus en couv’ des Magic n°3 et n°4, Blur, PJ Harvey et Björk sont encore des stars.

En croisant les témoignages de fans, la parole publique de l’artiste et notre propre perception de leur itinéraire, l’analyse qui ouvre ce nouveau trimestriel fait remonter toute la force de leurs propositions musicales et, en récompense, ce qui fait la fidélité de notre attention.

Magic Unes #3 #4
Couv Revue 229
Design © David Guibaud

Comme affiché en Une, en trente ans de carrière, Blur, PJ Harvey et Björk n’ont pas beaucoup eu l’occasion de descendre des sommets de la pop. Eh bien, laissez-nous vous dire que cela risque aussi d’être votre cas à la lecture de ces pages…

Le sommet de la pop, c’est l’idéal visé par le duo amiénois Structures qui n’a jamais cessé de frotter son rock à l’épreuve du live, avant de faire paraître aujourd’hui un premier album qui y a gagné beaucoup de son ardeur.

C’est le point de convergence évident de tous les chemins (parallèles, perpendiculaires) qu’emprunte Daniel Lopatin aka Oneohtrix Point Never sur Again, dernier volet d’une trilogie du souvenir qui fait advenir tous ses délires et désirs soniques.

C’est ce que touchait en 1966 un Bob Dylan coupable d’être passé à l’électricité, et que retouche aujourd’hui Cat Power en proposant sa propre version du Royal Albert Hall Concert de son idole.

Le sommet de la pop, c’est aussi l’endroit d’où s’expriment Chassol, Flore Benguigui ou encore Dominique A lorsqu’ils jouent les animateurs radio et créent leur chronique, émission, podcast…

C’est ce que vous avez sans doute déjà vu percer par-delà la foule dans l’une des salles de concert de la capitale qui font vivre la pop avant le dernier métro.

Le sommet de la pop, c’est évidemment Jim Jarmusch. Qu’il œuvre dans le cinéma ou dans la musique, comme c’est le cas avec son projet SQÜRL.

Le sommet de la pop, c’est, enfin, le panthéon que nous aimons revisiter et où l’on retrouve le(s) fantôme(s) de Robert Johnson, l’art de la prise de risque de Tom Waits, les traces laissées par le puissant flash de la nu-rave ou celles que Bessie Smith et la grande crue du Mississippi de 1927 ont léguées au blues.

Tout ceci est à découvrir au sommaire du Magic n°229…

Bonnes lectures à toutes et à tous !

Rappel : ce numéro n’est pas disponible en kiosque mais vous pouvez bien entendu le commander à l’unité, le mieux étant encore de s’abonner pour ne rater aucun numéro !