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© Alex Aviscius

Alors que Widowspeak vient peut-être de sortir son meilleur disque depuis sa fondation en 2010, Molly Hamilton nous parle de la nécessité de trouver son propre son, de son obsession de la simplicité, de l'importance du live dans la création et de cette cure de jouvence new-yorkaise qui a façonné leur chef-d’œuvre "The Jacket".

Vous avez votre son propre, mais je trouve que vous essayez toujours de trouver la meilleure version possible de ce son en essayant des choses nouvelles à chaque disque…

C'est assez volontaire de ne pas trop se réinventer. Plus j'écris des chansons, plus j'arrive à me trouver moi-même. Robert a d'autres inspirations, mais, pour nous, ce qui compte le plus c'est l'équilibre entre nos deux personnalités qui fait l'identité de Widowspeak. Plutôt que de se réinventer en permanence en explorant tout un tas de nouveaux territoires, l'important c'est juste de trouver notre propre son sur chaque disque.

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