Weyes Blood (And in the Darkness, Hearts Aglow) bannière
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© Neil Krug

L’Américaine Natalie Mering sort son cinquième album, "And in the Darkness, Hearts Aglow", deuxième volet d’une trilogie entamée avec "Titanic Rising", pour soigner et réveiller les consciences.

Urgence climatique, isolement des êtres, amour IRL sacrifié par l’addiction aux smartphones, qui ont vampirisé la Gen Z : Weyes Blood a le cœur gros. Sur la pochette de son nouvel album, et sur la Une de notre trimestriel paru en septembre, il rougeoie intensément. Quel feu brûle en elle ? Une braise d’espoir. Le cœur de Natalie Mering a été brisé tellement de fois qu’elle est devenue cet être pleinement compréhensif et empathique envers toute souffrance. Ce sont ses mots. La musique est son remède. Notre meilleure thérapie.

Tu es de retour avec l’album And in the Darkness, Hearts Aglow. Est-il né rapidement, sans peine ?

À vrai dire, j’ai passé un moment à le faire, car son écriture a débuté pendant la pandémie, dans un environnement différent où tout le monde était masqué. Puis le vaccin est arrivé et ça s’est transformé en quelque chose d’autre. Le monde s’est rouvert. Je ne voulais pas faire un disque en vase clos alors j’ai attendu l’opportunité de pouvoir à nouveau voyager. La création de celui-ci s’étend sur plusieurs chapitres. Tout s’est finalement mis en place, mais pas rapidement. Ça a pris du temps, du temps pour que le monde s’ouvre à nouveau.

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