UTO (When all you want to do is be the fire part of fire) bannière
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© Marco Dos Santos

Près de deux ans après la sortie de leur premier album, les UTO Neysa May Barnett et Émile Larroche nous ouvrent littéralement les portes de leur intimité, en nous invitant chez eux, dans leur maison, pour vous faire découvrir les coulisses de leur nouvel album "When all you want to do is be the fire part of fire".

Neysa : Bienvenue dans notre salon à Augerville-la-Rivière (Centre-Val-de-Loire), où vivait autrefois la grand-tante d’Émile, Jeanne-Claudie, qui rêvait d’avoir des enfants et qui s’est retrouvée médecin à découper des cerveaux de fœtus morts prématurés pour qu’il y ait moins d’enfants morts-nés.

Émile : Vrai de vrai. J’ai déménagé il y a quelques années sa collection personnelle de coupes de cerveau.

Neysa : Et ce crâne là-bas, c’était à elle. On l’a baptisé Hector le mort.

Émile : C’était à son père, donc mon arrière-grand-père, qui était instituteur. Jadis, ils avaient de vrais squelettes dans les classes, pas des squelettes en plastique.

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