Enfer, purgatoire et paradis, le troisième album d’Andrea Laszlo de Simone réunit les trois étapes du cheminement de Dante vers la rédemption
Comme Dante entamant sa Divine Comédie «à la moitié du chemin de notre vie» (35 ans, l’âge même d’Andrea Laszlo de Simone aujourd’hui), «dans une forêt obscure» où il se retrouve parce qu'il a perdu «la route droite», l’auteur-compositeur-interprète turinois fait débuter son nouvel album Una Lunghissima Ombra («Une ombre très étendue») dans «L’Obscurité» (Il Buio, piste 1), par un lent et dramatique crescendo orchestral. Enfer, purgatoire et paradis, le troisième album d’Andrea Laszlo de Simone réunit cependant les trois étapes, entremêlées, du cheminement de Dante vers la rédemption, en 17 titres (dont plusieurs interludes instrumentaux) conjuguant la joie pure (la grâce) de la mélodie, des orchestrations, et la profonde tristesse de celui qui