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Phantom Island
King Gizzard and the Lizard Wizard
P DOOM RECORDS

[CHRONIQUE] King Gizzard & The Lizard Wizard, bamboche sur une île fantôme

King Gizzard & The Lizard Wizard s’offrent un détour symphonique avec leur 27e album, revisitant dix titres en compagnie de l’orchestre philharmonique de Los Angeles. Un disque plus ornemental qu’expérimental, mais qui dévoile de nouvelles nuances.

Le déjanté sextette australien étant connu pour expérimenter sans cesse, la question se fait brûlante à chaque nouvelle livraison : après l’album metal, l’album boogie, l’album techno, quelle allait être la tonalité de ce 27e (!) disque en 15 ans de carrière ? Réponse : l’album avec un orchestre. Les KGLW reprennent ici dix chansons issues des sessions de Flight b741, qui n’avaient pas trouvé leur place sur ce très fun album de dad rock seventies sorti l’été dernier. L’inspiration soft-rock progressif est donc la même, à ceci près qu’ils sont désormais accompagnés par l’orchestre philharmonique de Los Angeles.

L’ensemble apporte de nouvelles couleurs à la musique du groupe : une ampleur bienvenue sur des morceaux plus introspectifs comme Spacesick

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