Étienne Daho (Tirer la nuit sur les étoiles) bannière
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© Pierre-Ange Carlotti

Célébré par une nouvelle anthologie L’ADORERÉTIENNEDAHOGREATESTSHITS (en majuscules, et tout attaché), entendu tout récemment sur l’album de Vanessa Paradis et sur un récent disque hommage à Philippe Pascal, Daho confirme en cet automne son statut de plaque tournante de la pop française. Magic décortique la galaxie Daho. Ses attractions, ses astres.

Les étoiles disparues

Comme le rappelle Sylvie Coma dans Étienne Daho, A Secret Book : «On ne peut pas comprendre Étienne si on ne parle pas de Rennes. La ville est restée une grosse bourgeoise endormie jusqu’à la fin des années 1960 (…) Jusqu’à ce qu’une bande de princes charmants, cuir, glam, rock, lui plaquent le baiser de sa vie». Et le groupe de rock phare de Rennes à la fin des années 1970, celui qui sera apprécié et cité en référence par des formations étrangères comme Echo & The Bunnymen ou les Stranglers, voire The Cure, c’est Marquis de Sade (MDS), formé par la conjonction/collision d’une partie des Rats d’Égouts, dans lequel officie à la guitare Franck Darcel, et d’une autre formation bretonne

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